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VI

RENSEIGNEMENTS SUR UN CUL DE GOUSSE

« T’as aussi bouffé l’cul d’la fille à la patronne ?

— Non, c’est pour ce soir qu’a m’a dit d’rester. Tu y as fait, toi ? Oh ! dis-moi, c’ment qu’elle est : que je sache !… Elle est dépucelée, dis ?

— Dépucelée ? Tu parles qu’elle est dépucelée ! Si tu voyais la connasse qu’elle a ! J’y fourre la main comme dans ma poche.

— Mais elle a pas vingt ans ?

— Eh ben, elle a un entonnoir, je ne te dis que ça ! Et pis, tu ne sais pas ce qui t’attend, ma gosse. L’soir que j’y ai été, elle m’a couchée à poil sur le pieu, en soixante-neuf, elle sur moi. Un cul mouillé, mais mouillé à croire que la queue en sortait, tant que ça l’excitait, la gousserie. Elle me bavait dessus, je l’avais pas touchée.

— Ah ! mince !

— Attends, t’as pas fini : j’y donne un coup de langue… j’la fous en chaleur, et alors tu peux pas deviner ce qu’il lui a sorti du con : on aurait dit la gueule d’une soûlarde qui dégobillait du sirop, et tout ça dans ma bouche, la vache. “Merde alors, vous vous êtes donc pas branlée depuis trois jours ?” que je l’y ai dit… »