II
LA LANGUE D’YVONNE ENCULE CARMEN
« Pendant que tu fais ta prière, laisse-moi essayer quelque chose.
— Je suis sûre que c’est quelque chose de sale.
— Probablement.
— Et quoi encore ?
— Comment, tu te mets à genoux devant moi, tu tends le cul comme si tu voulais te faire enculer et tu ne veux pas que je lèche ?
— Oh ! pas là !
— Mais si, là ! Tiens, sens ma langue, petite chérie, sens-là qui te torche le trou du cul…
— Oh ! mais elle pousse, elle pousse, elle va entrer.
— Oui, figure-toi que c’est une pine !
— Mais, chérie, mais tu m’encules… Oh ! que ta langue est dure, elle me transperce… J’en ai au moins long comme le pouce, dans moi… Oh ! que c’est doux ! et que cela excite… Oh ! elle me lèche dedans… la sale… oui… oui… branle-moi en même temps… je mouille comme une fontaine… Ha ! ha ! comme je jouis !… ha ! comme je jouis ! »