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I
LE TROISIÈME MAMELON
« Monte sur mon lit, grosse sale. Monte ici, que je te lèche.
— C’est toujours mon con ? Il n’a pas changé depuis la semaine dernière ?
— Non, il n’a pas changé. Il est toujours gras et poilu. Tiens, toute ma langue dedans comme une pine.
— N’oublie pas le bouton.
— Ton bouton ? je le mangerais.
— Ah ! tu me fais mal, tu mords ! pas si fort, ma chérie, tu vas le couper… Ah !… je le fais… je décharge… tiens, mon foutre… Ah ! je le sens couler…
— Tu jouis trop vite, tu vas jouir encore, je le veux.
— Oh ! oui encore…
— Je te bois, mon amour. Je te bois…
— Tiens, tiens…
— C’est comme du lait… tu es ma nourrice. Dieu ! comme tu jouis !
— Je suis rompue. »
23 septembre 1894.