VIII
L’ESSAI PRÉALABLE
« Oh ! je remercie bien Madame, qu’elle a dit à la nouvelle fille de cuisine que son lit était pas prêt et qu’elle couche avec moi.
— Alors ça s’est bien passé ? Racontez-moi ça !
— Quand on a été couchées, la lumière éteinte, je l’ai empoignée par les poils, comme de juste…
— Elle en a déjà ?
— Ça pousse. Je lui ai pris la motte par la barbichette, vous croyez que ça l’a gênée ? Elle a fait tout bas : “Maman on me viole !” et puis elle a ouvert les cuisses… Ah ! si j’avais été un homme, ça n’aurait pas été difficile d’enfiler cette gamine-là ! Le temps de l’appeler putain, j’avais déjà le doigt dedans.
— Pas de pucelage ?
— Madame veut rire. Mais tout de même un gentil petit chat. Avec un doigt, on le remplit et on touche le fond tout de suite.
— Jouisseuse ?
— Ah ! la petite cochonne ! Et câline ! J’ai pas eu besoin d’y demander. Sitôt qu’elle a eu mon doigt dedans, elle m’a branlée, et elle s’y entend, ah ! là ! là ! Je peux dire que quand j’ai joui, j’ai pas perdu mon coup. Elle est gousse dans le sang, cette gosse-là. Moi, j’ai pas voulu y demander sa langue pour que Madame en ait l’étrenne, mais… »