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II

LE DOIGT DANS LE CUL

« Pas maintenant.

— Pourquoi ?

— Parce que j’ai envie…

— Du gros ?

— Mais oui. Tu te salirais tout le doigt.

— Grande bête ! Est-ce que tu crois que ça m’arrête ?

— Non, vrai tu veux le faire quand même ?

— Trousse tes jupes.

— Oh ! ce que tu es sale, ma chatte !

— Mets tes mains sur le lit pour mieux tendre tes fesses.

— Tu me vois tout, dis, maintenant, tout le chat, les poils et le petit trou.

— Il est si gentil, ton petit trou, ma chérie ; il cligne comme un œil, tiens, sens mon doigt, je le perce.

— Ah ! que c’est bon dans le cul ! que c’est bon !

— C’est vrai que tu es pleine, je sens du gras, c’est chaud !

— Oui ! remue comme cela ! fais aller ton doigt comme une pine ! Encule-moi, ma chatte adorée ! Tu me retournes toute ! J’en bande ! Ah !… Ah !… je jouis. »

6 juin 1897.