II
LE DOIGT DANS LE CUL
« Pas maintenant.
— Pourquoi ?
— Parce que j’ai envie…
— Du gros ?
— Mais oui. Tu te salirais tout le doigt.
— Grande bête ! Est-ce que tu crois que ça m’arrête ?
— Non, vrai tu veux le faire quand même ?
— Trousse tes jupes.
— Oh ! ce que tu es sale, ma chatte !
— Mets tes mains sur le lit pour mieux tendre tes fesses.
— Tu me vois tout, dis, maintenant, tout le chat, les poils et le petit trou.
— Il est si gentil, ton petit trou, ma chérie ; il cligne comme un œil, tiens, sens mon doigt, je le perce.
— Ah ! que c’est bon dans le cul ! que c’est bon !
— C’est vrai que tu es pleine, je sens du gras, c’est chaud !
— Oui ! remue comme cela ! fais aller ton doigt comme une pine ! Encule-moi, ma chatte adorée ! Tu me retournes toute ! J’en bande ! Ah !… Ah !… je jouis. »