VI
TÉLÉPHONE
« Allô !… Donnez-moi le 208-27… Allô ? 208-27 ?
— C’est toi, Madeleine !
— Oui, Rosine… je n’en peux plus… Je te téléphone de mon lit… Naniche et Yvonne sont montées dessus pour se faire minette… tu les entends…
— Oh ! les petites cochonnes ! Laquelle est-ce qui jouit si fort ? Est-il permis de crier comme ça !
— J’en suis folle… C’est Naniche qui jouit… Ne coupez pas… Elle jouit sur la figure d’Yvonne qui en a les joues trempées. Moi je ne peux plus voir ça… je me branle pour toi, Rosine, fais-le aussi.
— Oui, oui ! faisons-le par téléphone ! oh ! quelle bonne idée.
— Je suis toute nue, couchée sur le dos, et toi ? dis vite !
— Moi, je suis en robe de chambre, je l’ai ouverte, j’ai relevé ma chemise, je me branle de toutes mes forces pour jouir avant toi…
— Ce n’est pas possible… j’ai trop envie… si tu voyais mes poils… je suis inondée… Ne coupez pas, mademoiselle, branlez-vous aussi si vous voulez, mais ne coupez pas… Ah ! les petites salopes, c’est nous maintenant qui les excitons. Elles recommencent.
— Tiens ! chérie ! tiens ! je t’avais bien dit que je jouirais la première.
— Non ! Moi aussi je le fais ! C’est pour toi… pour toi… pour toi… »