III
SUR LE CORPS
« Mets-toi à genoux et lève le cul, pour que je te mette la canule.
— Lèche-moi le trou, d’abord, ça entrera mieux.
— Tiens… tiens… C’est assez ?
— Oui, mets la canule et tourne le robinet.
— Voilà… ça n’est pas trop chaud ?
— C’est brûlant, mais j’aime ça… Je jouirais sans me toucher quand je prends un lavement.
— Là, c’est fini. Garde-le un moment.
— Je ne peux pas… il faut que je chie tout de suite… couche-toi, si tu veux le recevoir.
— Sur mes tétons, d’abord… sur le gauche.
— Je peux tout lâcher ?
— Oui.
— Tiens… à toi.
— Oh ! que c’est vert ! c’est plein de merde, mon amour, et chaud comme du jus de con… Ah ! une petite crotte… je vais la mettre dans ma fente, ça me la parfumera… Avance-toi un peu… fais là, sur mon ventre… oh ! encore… encore… sur mon bouton… oh !… oh !… je jouis, mon chat, je décharge !… »