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A MONSIEUR PAUL DOUMER Cher ami, Vous gouverniez là-bas — et avec quelles facultés merveilleuses ! — la dernière fois que j’y suis allé. Je dois à votre hospitalité exquise d’avoir pu, en très peu de jours, pénétrer jusqu’à Angkor ; veuillez donc accepter la dédicace de ce récit, comme un témoignage de mon affectueuse reconnaissance, et aussi de mon admiration. Et puis, pardonnez-moi d’avoir dit que notre empire d’Indo-Chine manquerait de grandeur et surtout manquerait de stabi-