Page:Loti - Les Derniers Jours de Pékin, 1901.djvu/386

Cette page a été validée par deux contributeurs.
371
VERS LES TOMBEAUX DES EMPEREURS.

nous pressons, hommes et chevaux, dans l’enveloppement d’un même nuage.

Et nous voici entrés dans de la vieille Chine provinciale, tout à fait arriérée et ignorée…