Page:Loti - Les Derniers Jours de Pékin, 1901.djvu/323

Cette page a été validée par deux contributeurs.
308
LES DERNIERS JOURS DE PÉKIN.

nous et les fumées des cuirassés commencent d’étendre sur l’horizon leur nuage noir. Mais nous craignons d’être forcés de rebrousser chemin, tant il fait mauvais…

Tout trempé d’embruns, je finis cependant par arriver, et, entre deux lames, je saute à bord du Redoutable, — où mes camarades, qui n’ont pas eu comme moi un intermède de haute chinoiserie, sont à la peine depuis déjà quarante jours.