tout, même abandon, même envahissement par l’herbe et les broussailles, même délabrement de vieux cimetière, même silence sonore où l’on entend les corbeaux croasser.
Pourquoi trois ? puisque forcément l’une doit masquer les deux autres, et puisqu’il faut, pour passer de la première à la seconde, ou de la seconde à la troisième, redescendre chaque fois au fond d’une vaste cour triste et sans vue, redescendre et puis remonter, entre les amoncellements des marbres couleur d’ivoire, superbes, mais si monotones et oppressifs !
Il doit y avoir à ce nombre trois quelque raison mystérieuse, et, sur nos imaginations déroutées, cette répétition produit un effet analogue à celui des trois sanctuaires pareils et des trois cours pareilles, dans le grand temple des Lamas…
J’avais déjà vu les appartements particuliers du jeune Empereur. Ceux de l’Impératrice — car