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DÉDICACE.

leurs indulgent à ce livre plus que personne, parce que vous savez dans quelles conditions il a été écrit, au jour le jour, pendant notre pénible campagne, au milieu de l’agitation continuelle de notre vie de bord.

Je me suis borné à noter les choses qui ont passé directement sous mes yeux au cours des missions que vous m’avez données et d’un voyage que vous m’avez permis de faire dans une certaine Chine jusqu’ici à peu près inconnue.

Quand nous sommes arrivés dans la mer Jaune, Pékin était pris et les batailles finissaient ; je n’ai donc pu observer nos soldats que pendant la période de l’occupation pacifique ; là, partout, je les ai vus bons et presque fraternels envers les plus humbles Chinois. Puisse mon livre contribuer pour sa petite part à détruire d’indignes légendes éditées contre eux !…

Peut-être me reprocherez-vous, amiral, de n’avoir presque rien dit des matelots restés