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d’ailleurs ; nous apporter les tristesses, les effrois d’on ne sait quelles existences futures, ou peut-être déjà vécues depuis des siècles sans nombre ; nous donner (comme par exemple certains fragments de Bach ou de César Franck) la vision et presque l’assurance d’une survie céleste ; ou bien encore (comme ce que me chante la guitare de cette femme), nous faire entrevoir les dessous féroces, épeurants et à jamais inassimilables, de toute japonerie…