Page:Loti - La troisième jeunesse de Madame Prune, 1905.djvu/137

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

pont humide, et il me demande timidement si je ne pourrais pas loger la caisse, sans que ça me gêne trop, dans un coin de ma chambre.

Comment lui refuser cette consolation-là ? Certainement, bien que je sois déjà encombré à ne savoir que devenir, je donnerai l’hospitalité à la gentille pièce de soie blanche et aux modestes cadeaux de mariage.