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III
Kioto ! C’est la vieille dame qui me réveille, très souriante, en me frappant sur les genoux.
— Okini arigato, okami-san ! (Grand merci, madame !) et je saute à terre, un peu ahuri au sortir de ce sommeil.
Alors me voilà assailli par la pléiade des djin-richi-san[1]. Étant le seul en costume européen parmi cette foule qui débarque, je deviens leur point de mire à tous. (À bord, nous avons coutume de dire simplement des djin ; c’est plus bref et cela va bien à ces hommes coureurs toujours en mouvement rapide comme des diablotins.)
- ↑ Djin-richi-san, homme qui traîne la djin-richi-cha