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LA CHINE EN FOLIE

Et M. le président était venu à Tientsin — sans billet naturellement.

— Quand Wou-Pé-Fou sera défait, les rhumatismes de celui-ci iront mieux, fit M. Pou en clignant d’un œil.

— Ce sera la fin de l’anarchie, reprit le Bouddha, et je pourrai de nouveau diriger la Chine vers des destinées qui cesseront d’être douteuses.

Gnafron qui, certainement, n’était pas du parti de M. le président du Conseil, se tourna vers moi :

— Quand lui aura retrouvé sa place, tout ira bien. Voilà ce qu’il dit ! Et moi, Chinois, je suis forcé d’entendre cela ! Non, monsieur ; c’est un lettré qui vous parle. Écoutez-moi. Rien ne sera changé. Et après, ce sera comme avant.

— Bien dit ! Gnafron.

Et nous nous retirâmes.