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chaise avec Jean-Marie. On causait, on riait. Je disais à Dieudonné, qui suivait derrière :

— Ramasse des confetti et jette-les nous : on aura l’air d’un groupe de bambocheurs.

Il nous en mit quelques poignées. Je repris le copain sur mon dos dès qu’on eut passé les lumières. Il ne dormait pas ; c’était un rude paquet tout de même !

On atteignit à la Santa Casa.

On ne nous demanda pas de papiers. Il y avait là une sœur française. Elle en avait vu arriver quelques-uns comme ça. Elle savait d’où il venait !

— Encore un ! quelle dit.

Il est mort au matin. Ce fut sa Belle à lui.


UN NOUVEL ÉTAT CIVIL

Alors, le lendemain… (c’est Dieudonné qui parle)… je me lave, je me rase. Un