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assimilation qui s’établit entre un écrivain et son traducteur, — nous avons cru que ces circonstances nous imposaient pour devoir de ne pas seulement apporter une pierre brute et anonyme à l’hommage qui lui était rendu. Nous avons considéré que les convenances de l’amitié et de collègue, exigeaient de nous un témoignage plus particulier de nos vifs regrets et de notre admiration convaincue. Il nous a semblé que ce serait nous manquer à nous-même, que de ne pas briguer l’honneur d’inscrire notre nom et de faire parler notre affliction sur sa pierre sépulcrale, comme il est permis à ceux qui n’espèrent jamais remplacer dans leur cœur le vide qu’y laisse une irréparable perte !…

F. Liszt.




FIN.




Imprimerie de Breitkopf et Härtel à Leipsic.