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ODE A LA VÉROLE.

O vérole ! ô peste cruelle !
Que ses ravages sont affreux !
Que de cons désolés par elle,
Et que de fouteurs malheureux !
C’est-là le mal de l’opulence,
Le mal-français par excellence,
Le mal commun dans tout pays,
Le mal des prudes, des coquettes ;
Des duchesses et des soubrette,
Des porte-faix et des marquis.