Page:Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, 1933.djvu/178

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

XIX

— « Nom de Dieu », qu’ dit la gonzesse,
« Tu as le vit comme un cochon
Tonton, tonton, tontaine, tonton,
— « C’est toi, vénérabl’ garce aux belles fesses
Qui as le con trop profond,
Tonton, tontaine, tonton !

XX

« On y foutrait la Madeleine
La Bastille et le Panthéon,
Tonton, tonton, tontaine, tonton,
Et un régiment — quelle aubaine ! —
La baïonnette au canon,
Tonton, tontaine, tonton !

XXI

« Outr’ ce régiment d’infant’rie
Avec leurs cinq escadrons,
Tonton, tonton, tontaine, tonton,
Deux régiments de caval’rie
Iraient parfait’ment dans ton con,
Tonton, tontaine, tonton !

XXII

« Et tous les pontaniers de France,
Et leurs équipages de ponts,
Tonton, tonton, tontaine, tonton,
Se logeraient bien dans ta panse,
Dans quelque repli de ton con,
Tonton, tontaine, tonton !


— 144 —