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— « Tu me promets, bien vrai, le secret pour toujours ?
— « Oui, je te le promets, mon ami, mais dis vite. »
— « Eh bien ! voyant ma Lise aux portes du tombeau,
Dans son endroit secret, je lui fourrai ma bite,
Tu comprends, n’est-ce pas ? je baisse le rideau. »
— « Que n’ai-je su plus tôt, oh ! Jean, mon aimé frère,
Ce moyen de guérir, je l’aurais employé,
Il ne serait pas mort, mon pauvre vieux grand-père
Et j’aurais dû beaucoup à ta bonne amitié. »
![Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, Vignette de fin de chapitre](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8b/Les_filles_de_Loth_et_autres_po%C3%A8mes_%C3%A9rotiques%2C_1933_-_Vignette3.jpg/110px-Les_filles_de_Loth_et_autres_po%C3%A8mes_%C3%A9rotiques%2C_1933_-_Vignette3.jpg)