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causait. C’était là une avance marquée que je n’avais garde de ne pas lui rendre.

Je passe donc une main sous ses jupes. Quelle peau ! quelles cuisses bien modelées !… Je monte et… je rencontre un grand vilain linge…

— Ah ! Hyacinthe, quel malheur ! Vous avez vos…

— Que veux-tu ! me cria Cora, qui riait de plus belle, ce n’est pas le bon jour !… Mais moi, Hyacinthe, moi, je n’ai pas mes affaires !

Ce disant, un verre de champagne à la main, elle se jette sur le sofa, troussée jusqu’à la ceinture. Hyacinthe tombe à genoux devant elle et lui baise le ventre et la motte ; et moi de tirer Hyacinthe en arrière.

— Que m’importent les règles ! Est-ce qu’un homme échauffé s’arrête devant cet accident de la nature ? Est-ce qu’un peu de sang pur qui coule sous l’assaut d’un membre amoureux n’est pas un condiment de plus au plaisir ?

Voilà ce que je disais à Hyacinthe, qui m’écoutait tout en léchant doucement le clitoris de Cora, qui commençait à jouir… Soudain celle-ci se leva.

— Tu le veux ! me cria-t-elle.

— Si je le veux ! répondis-je avec ardeur ; règles ou non, j’enfilerai Hyacinthe, et toi après elle, et Hyacinthe encore après toi !

— Seigneur, dit plaisamment Cora, que votre volonté soit faite !

Elle annonça qu’elle voulait diriger la chaude action qui allait s’ouvrir entre la belle Hyacinthe et moi. Elle fit mettre Hyacinthe à genoux sur le sofa. Je troussai la jeune hétaïre, et tandis qu’on lui ôtait la serviette, je baisais ses jolies fesses. La croupe m’apparut un peu courte, mais