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l’intelligence dans l’écriture.

Clarté d’esprit moindre que les autres qualités. (Quoique l’écriture soit lisible et les espacements bien ménagés, le manque d’unité de mouvement de cette écriture et son manque de relief, dans certains passages, donnent à penser que son esprit est préoccupé de plusieurs choses à la fois.) Culture ordinaire. (C’est un Monsieur instruit, certainement, mais rien de trop.)

Soit intelligence moyenne, sans originalité.

23 et 23 bis. — F. de Curel et un fonctionnaire, qui ne manque ni d’entrain, ni d’intelligence, ni d’imagination, mais qui n’a nullement la valeur philosophique et littéraire

Fig. 35. — Fin de billet de François de Curel, le grand dramaturge.

de Curel. En général, bien jugé comme comparaison ; mais quelques-uns de ceux qui ont donné une solution juste se sont bien trompés sur une des écritures. Ainsi, X3 écrit :

23 bis (F. de Curel). — Intelligence fine mais mesquine, et d’une précision insuffisante. De la nonchalance, pas d’application ni d’ambition. Cote 35.

Voilà un portrait qui me paraît bien peu exact !

J’aime mieux celui de Crépieux-Jamin :

23 bis (F. de Curel).
Écriture petite, esprit fin et pénétrant.
espacée, esprit clair.
très inégale de dimensions et de direction (majuscules exagérées) sensibilité intellectuelle vive, imagination.