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DU TRADUCTEUR.
TRADUCTION
DE M. GALLAND.
TRADUCTION
LITTÉRALE.
devoient être du voyage, il se rendit au pavillon royal qu’il avoit fait dresser auprès des tentes du visir. Il s’entretint avec cet ambassadeur jusqu’à minuit. Alors voulant encore une fois embrasser la reine, qu’il aimoit beaucoup, il retourna seul dans son palais.

En comparant ces deux morceaux, on verra clairement que la traduction de M. Galland est une paraphrase ; mais, d’un autre côté, la traduction littérale paroîtra peut-être un peu sèche. C’est apparemment pour re-