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VII

L’INVASION DE PARIS


C’était un dimanche, fin avril, un de ces beaux jours qui sont les hérauts du mois de mai.

Huit heures du matin : la ville paresseuse avait fait la grasse matinée. Avant de partir pour quelque partie de campagne, les hommes, languissamment, se reposaient au lit des levers matinaux de la semaine.

En ces quartiers populaires des Buttes-Chaumont, des rues Secrétan, Bolivar, Botzaris, les ménagères sont complaisantes aux ouvriers qui ont peiné toute la semaine : elles se lèvent les premières et, s’étant assurées que le bébé, bien