Page:Lermina - L’effrayante aventure.djvu/211

Cette page a été validée par deux contributeurs.

en cercueil ! La mort lente, horrible, dans l’immobilité et l’asphyxie.

Jamais touriste en face de l’espace, du ciel, des bouquets d’arbres, des vastes paysages, n’éprouva joie plus intense que celle de notre bon savant, enveloppé de tous côtés d’une calotte de pierre, avec, sous les pieds, un abîme sans fond ? Preuve nouvelle de la relativité des jouissances humaines !…

Et Sir Athel, emporté par son enthousiasme, s’écria :

— Vive la vie !… Vive la science !

— Qui est-ce qui piaille là-haut ? répondit une voix qui semblait sortir des profondeurs de la terre.