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ACTE 3, SCÈNE 4

de vivre près de toi, contre toi. Ne me refuse pas ta porte, donne-moi ton intimité… Tout à l’heure je frapperai et tu m’ouvriras.

Hélène, toujours dans ses bras, très émue et très grave.

Jamais.

Philippe, dans un mouvement de colère il porte brutalement la main au col de la jeune fille. Elle saisit cette main comme elle se défendrait de la strangulation, ils luttent un peu.

Pourquoi, pourquoi ? qu’est-ce que ces pudeurs blessantes et folles ?

Hélène, dans un étouffement.

Ce n’est pas de la pudeur.