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ACTE 3, SCÈNE 3

Marthe que le mot a touchée, à Hélène, une grande nervosité contenue.

C’est beau sans doute, Mademoiselle, de ne pas songer à l’avenir, d’être indifférente à son établissement futur, de vivre d’étude et d’intimités choisies…

Hélène, un peu haute.

Vous me le reprochez. Madame ?

Marthe, continuant.

Peut-être serait-il plus beau de prendre simplement ce qui vous revient, et de laisser de côté la part des autres !