Page:Lefèvre-Deumier - Le Parricide, 1823.djvu/116

Cette page n’a pas encore été corrigée





Ils ne sont plus les jours, où l’homme était crédule,
Où lorsque, vers minuit, la gothique pendule
Voyait se réunir ses aiguilles d’acier,
On disait que la mort, sur son pâle coursier,