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Cette main, cet appui, qu’attendait mon chagrin… Puis-je encore… à mon Dieu ! 6. tell.

La croyez-vous flétrie ? Cette main qui nous sauve a sauvé la patrie, Et je la lève libre et pure vers les cieux.
Le moine fait un mouvement. G. Tell le regarde.
Que fait ce frère ici ?

4jcbn>tgc.
C’est un religieux,
Qui m’a presque effrayée, en citant l’Evangile ;
Parle-lui. J’oubliais qu’il demande un asile.

Ce jlloiltt bas en s’approchant.
C’est vous qui de Gessler..,.

« . « Wl.
Parlez haut, sans effroi. C’est moi qui l’ai frappé : je m’en vante, c’est moi !
Ce Moine. Guillaume Tell !… vous… ah ! c’est l’Être-Suprême, C’est Dieu, sous votre toit, qui m’a conduit lui-même !