magnifique Ptolémaios. J’ai entendu dire que la Reine avait ordonné une belle cérémonie.
Tout est riche chez les riches. Mais de tout ce que tu as vu en venant, à qui n’a rien vu…
C’est le moment de partir. Il est toujours fête chez les oisifs.
Eunoa, apporte-moi de l’eau, et mets-la au milieu de la chambre, paresseuse ! Les chats aiment à dormir mollement couchés. Remue-toi donc ! Apporte vite de l’eau ! J’ai besoin d’eau d’abord, et elle m’apporte du savon ! Donne toujours. N’en verse pas tant, maladroite ! Malheureuse, pourquoi éclabousses-tu toute ma tunique ? Assez ! Je suis lavée comme il a plu aux Dieux. Où est la clé du grand coffre ? Apporte-la.
Praxmoa, cette robe agraïée, aux plis nombreux, te sied beaucoup. À combien te revient-elle ?
Ne m’en parle pas, Gorgô ; à plus de deux mines de bon argent, et je me suis tuée à la faire.
Mais tu as réussi.