Page:Leblanc - Armelle et Claude, 1897.djvu/216

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
206
ARMELLE ET CLAUDE

Partout elle les brûlait. Il leur sembla qu’ils se baisaient le cœur.

Soudain les bras d’Armelle se raidirent contre la poitrine de Claude, comme des ressorts irrésistibles. Il avait tenté…