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faire encore, car elle sentait déjà sa pine raidir dans son con.

— Ce n’est pas étonnant, répondit-il, avec les délicieuses pressions que me fait éprouver ton con si doux.

Nous pensâmes que le moment était bien choisi, car ils étaient tous deux très en chaleur ; aussi frappant à la cloison et élevant la voix juste assez pour être entendu d’eux distinctement, je dis :

— Vous avez suivi notre exemple et paraissez être aussi lubriques que nous, voulez-vous que nous nous réunissions et que nous changions de partenaires ? Je suis sûr que vous êtes deux personnes très enviables et vous trouverez certainement que nous valons la peine d’être connus. Ce sera pour tous une nouveauté très excitante qui se terminera soit par une connaissance plus longue, soit simplement par un caprice. Qu’en pensez-vous ?

Je me tus et j’entendis des murmures qui furent suivis de ces mots :

— Eh bien ! nous acceptons.

— Venez chez nous, car je suis à moitié nu ! s’écria le monsieur.

Nous nous levâmes et allâmes dans leur chambre. Mon regard à travers la serrure m’avait donné l’idée de deux superbes personnes, mais quand je les vis complètement, je les trouvai encore bien mieux. Il était encore enfoncé dans le con par derrière ; elle leva la tête quand elle nous vit entrer, mais laissa exposé à notre vue son immense der-