Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/167

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
146


restâmes plus d’une demi-heure anéantis par ces joies délicieuses. À la fin nous nous levâmes pour nous laver et restaurer nos forces épuisées avec du champagne, nous nous embrassâmes tous et nous retirâmes pour dormir chacun dans nos chambres séparées.

Je dormis du sommeil du juste et me réveillai assez tard en sentant ma tante sucer ma pine toute raide et juste au moment où je déchargeai dans sa bouche un torrent de foutre crémeux. Elle suça jusqu’à ce qu’elle eût tout fait sortir, et en agissant ainsi, me fit rebander à nouveau ; aussi, sautant à bas de mon lit fort peu élevé, je la fis s’agenouiller dessus, présentant son immense cul, et je me mis à lui lécher le con jusqu’à ce que je ne puisse plus me retenir ; approchant alors mon énorme pine, je la plongeai dans son con brûlant, ce qui suffit pour la faire crier et décharger de suite.

La laissant se reposer un peu pour en savourer toute la jouissance, je recommençai et courus une course délicieuse dans ce con des plus exquis, et j’aurais encore recommencé une seconde fois, après une pause d’extases, si Henry ne s’était pas précipité dans notre chambre en disant que tous nous attendaient avec impatience pour commencer le déjeuner. Ma tante prit juste le temps de sucer encore un peu ma pine et se sauva.

Je me dépêchai de me laver et de m’habiller, ayant envoyé Henry en avant pour les prier de ne pas m’attendre.