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pleine de foutre, car la flagellation l’avait fait décharger copieusement. Je n’ai jamais vu un con aussi large, ni un triangle aussi étendu, partant de chaque côté des lèvres et finissant aux fesses, le tout couvert de poils du plus beau blond.

— Voilà, monsieur, la prison où vous subirez votre punition, baissez-vous et embrassez-la avant que j’emprisonne dedans votre indécente pine.

Le pasteur, sans hésitation, se baissa et la gamahucha si bien, que son derrière se tortillait sous sa tête et faisait tout trembler dans la chambre ; ses mains pressaient tellement la tête de mon oncle, qu’on aurait dit qu’elle voulait la faire entrer dans son con. Elle déchargea enfin en poussant des cris de volupté. Il avala rapidement tout, puis, se levant, il engloutit sa pine jusqu’aux poils d’un seul coup, je pourrais presque dire ses couilles avec, dans ce con avide et magnifique. Il se reposa alors quelques minutes, et je pouvais voir par les frétillements de ses fesses, combien ma tante jouissait. Ils exécutèrent bientôt des mouvements plus actifs, car, passant ses jambes sur son dos, elle commença à pousser de bas en haut, avec une activité beaucoup plus grande que je ne l’en aurais crue capable. Ils manœuvrèrent beaucoup plus longtemps que je ne m’y attendais ; mais lorsque vint la crise finale, ce fut avec une énergie et des mouvements convulsifs que les deux amoureux déchargèrent. Je pouvais voir son con humide serrer par le bas la pine de mon oncle dont la grosseur s’était beaucoup augmentée ; ils demeurèrent ainsi insensibles