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bientôt de la sagesse de ce procédé, car souvent ensuite, pour mes derniers efforts, je fus obligé d’avoir recours à la verge pour terminer nos orgies.

La seconde nuit, après la découverte de mon intimité avec mes sœurs, fut celle pendant laquelle eut lieu notre première réunion à quatre dans la chambre de miss Frankland.

Nous avions été envoyés au lit de bonne heure, comme d’habitude, et miss Frankland nous avait bien recommandé de nous endormir le plus vite possible et de ne pas être anxieux, car elle irait elle-même réveiller les fillettes quand toute la maison serait couchée. Quant à moi, c’était le plan que j’employais toujours, car cela me permettait de me livrer plus longtemps aux plaisirs, ayant déjà pris un fort acompte sur la nuit.

L’hiver était fini et le printemps commençait. Il faisait une chaude nuit et un superbe clair de lune. Aussitôt que nous fûmes tous réunis, l’ordre fut donné de nous mettre entièrement nus ; alors, nous nous étreignîmes mutuellement, prenant toutes sortes de positions afin de bien admirer les charmes des uns et des autres. Les mains se promenaient partout, se concentrant spécialement sur les formes magnifiques de miss Frankland, dont la richesse de poils noirs et frisés était si excitante. Il devint bientôt nécessaire de calmer la première effervescence de nos passions, ce que nous faisions toujours par un gamahuchage mutuel. Miss Frankland qui avait un goût extraordinaire pour Marie,