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pais toute la crevasse que j’avais étirée de partout dans sa plus grande extension.

Ma tante avait dans le con une puissance d’étreinte telle qu’on aurait dit qu’elle vous arrachait la pine : ma chère Frankland avait aussi un peu ce pouvoir ; mais la sensation actuelle ressemblait à un gant de peau bien fait, mais de deux pointures trop petites pour vos doigts, se dilatant sans se déchirer et se prêtant à toutes les irrégularités de l’ongle ou du doigt ; son petit con enserrait ma pine exactement comme un gant, ce qui me procurait un bonheur impossible à décrire. Un mouvement doux en arrière, un autre en avant m’excitèrent tellement que je fis gicler un torrent de foutre jusque dans son ventre. Elle jeta un cri de bonheur et je pus sentir son con étroit exercer un frémissement tout le long de ma pine, la serrant encore davantage de partout, si c’était possible.

Ce bonheur était si exquis pour tous deux que nous fûmes de suite prêts pour recommencer une autre course.

Elle me demanda si j’avais tout entré.

— Oh ! oui, ma chérie, penses-tu que tu pourrais en recevoir davantage !

— Oh ! non, on dirait que je vais me déchirer et je la sens jusqu’au cœur. Je ne pourrais pas en supporter davantage, mais je puis à peine croire que tout est entré, je n’aurais jamais cru cela possible et je craignais qu’il y en eût encore à venir.

— As-tu bien joui ?

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