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suppliât de lui enfoncer ma pine dans le con. Je m’étais arrangé pour lui enfoncer de suite deux doigts dans le derrière et je la branlais ainsi, tout en la suçant par devant, sans que cela parût lui faire la moindre peine ; au contraire, je crus m’apercevoir que mes mouvements semblaient l’exciter davantage. J’essayai de l’élargir le plus possible ou plutôt de maintenir son trou du cul le plus ouvert possible avec mes deux doigts. Ce fut à ce moment de son plus grand excitement, lorsqu’elle me pressait de la foutre de suite, que je lui dis :

— Ma sœur bien-aimée, il existe un autre mystère d’obtenir des sensations voluptueuses que tu n’as pas encore essayé, auquel tu n’es pas encore initiée et je veux te le montrer.

— Oh ! quel est-il ? cher Charles, fais tout ce que tu voudras, mais fais-le le plus vite possible.

— Eh bien ! ma chérie, c’est dans le doux petit orifice de ton derrière que je vais introduire ma pine ; cela te fera un peu de peine pour commencer, mais en allant dou-