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la sucer jusqu’à la rendre folle de désirs. Je lui dis alors que j’allais l’initier à un nouveau mystère plus délicieux que tout ce qu’elle avait expérimenté jusqu’à ce jour, mais que la première initiation était toujours très douloureuse.

— Oh ! qu’est-ce que c’est ? mon cher Charles, tout ce que tu me fais est si bon que je suis sûre que je l’aimerai, qu’est-ce que c’est ?

— Tu dois d’abord savoir, ma chère Elise, que ton petit con est fait spécialement pour recevoir une pine dans l’intérieur ; seulement comme la mienne est trop grosse et que tu es encore jeune et petite, j’ai craint de te faire trop de peine en le faisant trop tôt ; mais maintenant je crois que je pourrai te l’enfiler en allant doucement.

— Oh ! cher Charles, mets-la de suite dedans ; j’ai souvent ressenti que j’aimerais à l’avoir ainsi ; mais comme tu n’avais jamais essayé de la mettre, je m’étais imaginé que c’était une simple idée de ma part. L’as-tu jamais enfilée dans la fente de Marie ?