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— Oh ! Charles, mon enfant, mon ange, viens, oh ! viens dans mes bras.

Je me levai, me jetai moi-même dans ses bras, et en un instant je fus englouti jusqu’aux couilles dans son con palpitant ; elle me serrait avec ses bras et ses jambes croisées sur mon corps, nous étions tous deux trop excités pour nous en tenir aux mouvements lents des désirs moins violents, mais nous nous ruâmes dans l’extase de la plus sauvage passion, trop ardents tous deux pour penser à nous contenir, et nous courûmes notre première course avec une rapidité étonnante et avec la plus grande vigueur de part et d’autre. Ma chère Aline n’éprouvait plus aucune douleur et ne pouvait qu’être ravie de la vigueur et de la violence de mon attaque. Nous nous pâmâmes tous les deux en même temps, déchargeant au moment de l’extase un ruisseau de foutre qui rafraîchit les parties enflammées qui avaient pris part un instant avant à un combat si furieux. Miss Aline bien-aimée me tenait pressé sur son sein et levait ses magnifiques yeux au ciel comme pour le remercier des joies qu’elle avait ressenties.