Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/170

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 164 —


trop pleine. Elle se retira avec difficulté, mais quand je fus debout, elle me pressa sur son sein et m’embrassa avec ardeur, léchant son propre foutre dont mes lèvres étaient encore couvertes.

M’ayant fait boutonner et ayant elle-même mis de l’ordre dans sa toilette, elle me fit asseoir à côté d’elle. Elle m’essuya la bouche avec son mouchoir de poche et arrangea ma cravate, mon col et mes cheveux. Nous nous embrassâmes alors bien tendrement, et elle me remercia pour l’immense jouissance que, je lui avais donnée ; elle me complimenta sur l’énorme grosseur de ma pine, me disant qu’elle lui avait donné plus de plaisir qu’aucune de celles qu’elle avait expérimentées jusqu’à présent. C’était la seconde fois qu’elle parlait de ses précédentes expériences. Je n’y fis pas attention pour le moment, car j’étais supposé être trop ignorant ou trop innocent pour penser qu’il pouvait y avoir du mal à cela, mais j’étais bien résolu à lui faire raconter, dans un moment de passion, quelques-unes de ses précédentes expériences.

Avant l’arrivée de mes sœurs, elle me dit :