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rique, hâta la chute de la colonie. — Quoiqu’il en soit, un siècle et plus s’est écoulé, et l’on en est encore à se demander, en présence des débats de la presse anglaise et de l’autorité que Goldwin Smith et ses adhérents ont pris chez les esprits dans la métropole, si les paroles du ministre Choiseul, lorsqu’il engageait son maître à signer le traité de cession du pays, étaient ou non fondées et si réellement le Canada est devenu un embarras pour l’Angleterre.


J. M. L.