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et les plus pauvres, comme les plus aisés, mirent dans le sabot, chacun suivant ses moyens, et bientôt on parvint à faire une somme de trente francs.

Vous jugez, mes amis, de la joie de Maximin ! Il remercia ses bienfaiteurs, et reconnut que la bonté de Dieu est grande, puisqu’il n’avait pas été puni selon sa faute. Depuis lors, il ne se détourna plus du droit chemin ; car il savait que ceux qui le quittent, s’égarent toujours.