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AUTOUR DE L’AFGHANISTAN
par le Commandant DE BOUILLANE DE LACOSTE
V. — DE YARKAND AUX GLACIERS DU SASSER
V. — 
En route pour le Petit Tibet. — Légende des goitreux de Poskam. — Quelques oasis du Turkestan chinois. — Le Kilyang Davan. — Chah-i-Doulah. — Le Soughet Davan. — Ak-Tagh. — Antilopes tibétaines. — La passe du Karakoroum. — Histoire du marchand de peignes. — Camp de Mourgo-Boulak. — Brangsa-Sasser. 
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VI. — À TRAVERS LE PETIT TIBET ET LE KACHMIR
VI. — 
Sur les glaciers du Sasser. — La vallée de la Noubra. — Notre première halte chez les Tibétains. — Panamik et ses blancs tchortens. — Les moulins à prières. — Le col du Khardong sous la tourmente. — Arrivée dans la capitale du Petit Tibet. — Un monastère de Lamas. — Les bungalows du Haut-Indus. — Paysages du Kachmir. — Srinagar, la Venise de l’Inde. — En route pour le Béloutchistan. 
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VII. — LE DÉSERT BÉLOUTCHE
VII. — 
De Quetta à Kélat. — Une entrevue avec Son Altesse Mahmoud Khan, émir du Béloutchistan. — Loris et Béloutches. — Nouchki. — À dos de chameau. — Les stations de la « Trade Road ». — Ramzan, le fumeur d’opium. — Un soir de deuil à Merui. — Le désert de la soif. — Une étape au clair de lune. — Robat et la frontière de Perse. — La douane de Koh-i-Malek-Siah. 
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VIII. — DE KOH-I-MALEK-SIAH À MESCHED
VIII. — 
Haozdar et son antique forteresse. — Nasretabad. — Une ville morte de la frontière afghane. — Au barrage du Hilmend. — Navigation en rivière. — La tempête de sable. — Noël au consulat britannique. — Départ pour Mesched. — Une halte à Birdjend. — Journées de misère sous la neige. — La boucle est heureusement bouclée. 
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DEUX MÉTROPOLES DU BRÉSIL : RIO DE JANEIRO ET SÃO PAULO
par M. FRANÇOIS CRASTRE
I. — 
Rio de Janeiro : la baie, la douane, la ville, la rue Ouvidor, le commerce, la banlieue. — La rivalité entre Rio et Buenos Aires. — Le Brésilien : son caractère. — La maison brésilienne ; la cuisine, le café. — L’armée et la marine brésiliennes. — Colonels et docteurs ; décorations et galons. — L’instruction au Brésil : les écoles ; gratuité de l’enseignement. — Le théâtre, la presse, le Gouvernement. — Le Brésilien en Europe. 
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II. — 
Le chemin de fer de Rio à São Paulo : le Brésil entrevu par la portière d’un wagon. — Arrivée à São Paulo : la ville, ses monuments son développement commercial. — Situation, climat. — L’influence de São Paulo dans les affaires du Brésil. — La capitale du café. — Visite de M. Doumer à une exploitation caféière. — Quelques chiffres sur l’exportation du calé brésilien. — La question des douanes. — La crise du café. — Comités brésiliens de valorisation et de propagande. — Appels à l’émigration. — Les ressources encore inexploitées du Brésil. — Conclusion. 
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LA DÉCOUVERTE DES SOURCES DU CENTRE AFRICAIN
par le Commandant LENFANT
I. — 
But de la Mission. — Travail qui nous était imposé. — Notre zone d’exploration. — Mes collaborateurs. — Accueil de nos amis. — Nos devanciers. — Les obstacles côtiers de la terre africaine. — Terribles rapides du Congo à Léopoldville. — La grande forêt ennemie de l’homme. — Sa description et son aspect. — La tsé-tsé hôte de la grande forêt. — La maladie du sommeil, ses causes et son étendue. — Les Goundis de Nola. — Le cannibalisme est-il fils de la religion ou du besoin ? — Préférence pour la chair européenne. — Arrivée dans la Mambéré. — Apparition des savanes. — Cultures et richesses. 
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II. — 
Influence du milieu sur les mœurs des indigènes. — La maison à toiture plate due à la vie groupée dans la clairière. — Le pays Bonkongo. — Nous débarquons à Bania. — Constitution de notre escorte. — Les deux Samba. — Comment dirige-t-on une colonne ? — Avec énergie et humanité ! — Comment pénètre-t-on des races inconnues ? — Comment se comporte l’indigène surpris dans son village. — Le dompteur frappe avant d’entrer dans la cage du lion. — Constitution de nos colonnes. — La variole apparaît. — Étude de la race baya. — Bayas du sud et Bayas du nord. — Bayas Talas et M’hakas. — Mœurs, coutumes, sorcellerie. — D’où viennent les Bayas ? — Ne seraient-ce point des familles issues de la race des Sanndés ? 
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III. — 
Colonne de la Nana. — Traversée du Morvan congolais. — Le contremaître du Gaza et sa famille en colonne. — Coup d’œil sur l’ancien pays des Poundés. — Nous découvrons les sources de la Sangha et de l’Ouhame. — Rencontre de la colonne lourde à Bouala. — Bougon et Delacroix sont envoyés en mission périlleuse. — Nous arrivons à Yadé, centre du nœud orographique. — Accueil hostile des habitants. — Les terminaisons ivo et . — L’oiseau de guerre et la pierre d’amitié. — Nos angoisses au sujet de nos deux compagnons. — Nous allons à leur rencontre. — Le pays des M’houms et leurs nids d’aigle. — La vallée du Lim. — Une étape fiévreuse pour ravitailler le capitaine Périquet. — Espoir déçu. — Le camp de Baïbokoun. — Nos porteurs veulent nous quitter, mais nous restent. 
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IV. — 
Le Boumbabal. — Les routes d’invasion des pillards foulbés. — Kérandel descend sur Laï en pirogue. — Je traverse le pays lakka. — Splendeur des hommes, des cultures et beauté des villages. — Mœurs et coutumes des Lakkas. — Les villages déserts. — Difficulté de nous procurer des guides. — La danse épileptique et le chant de réjouissance des Lakkas. — Nous atteignons le pays M’haï. — Arrivée à Laï. — Je vais recouper mon ancienne roule de 1903. — Rencontre de la colonne Joannard. — Les indigènes de Tikem me reconnaissent et me font bon accueil. — Je retrouve Bougon et Delacroix à Laï. — Récit de leur beau et périlleux voyage. — Disparition du milicien Seydou Diakite. — Kérandel, Bougon et Delacroix vont à Fort Archambault. — Formation de la colonne de la Penndé. — Périquet et de Montmort découvrent cette belle rivière dont je mets de suite la belle vallée et la route en pratique. 
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V. — 
Psichari part de Laï avec le convoi de bétail et s’engage sur la route de la Penndé. — Je rejoins Périquet à Bangoul. — L’attirail modeste du capitaine Faure. — Mœurs particulières aux M’haïs et aux Lakkas de la Penndé. — Tumulus égyptiens. — Origine probable des races à mil. — Périquet explore l’Ouhame et la Barya. — Il rejoint de Montmort à Kotoko. — Tous deux pénètrent dans le pays des M’hakas. — Durant cinq jours ils sont attaqués onze lois. — Barbarie des M’hakas. — Périquet retrouve la baleinière avec Kérandel et Bougon. — Les trois colonnes se rejoignent à Ouagga. — Réponse caractéristique d’un chef de tribu. 
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