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prouvera que le volume que nous publions aujourd’hui est le résultat de longues et laborieuses recherches ; quel que soit l’accueil qui lui est réservé, nous espérons en retirer au moins cet avantage que les études auxquelles sa composition nous a assujetti pourront nous mettre en état d’offrir désormais aux amateurs de notre ancienne littérature des publications plus dignes de leurs suffrages.

Jà de clerc qui reson entende
N’en serai blasmez ne repris
Se j’ai en aucun liu mespris
En tote ma premiere ovraingne,
Que pou avient qu’en ne mespraingne
Ou au chief ou à la parclose,
S’il n’est aüsez de la chose.

(Roman du Renart, t. II, p. 304.)