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livre quatrième
Plus tard le grain, sorti du germe.
Comme une nappe d’or s’étendit sur la ferme,
Et nul n’aurait pu deviner
Que les oiseaux là-même étaient venus glaner.
Mais, un jour de l’été, les insectes nuisibles
Mordirent les tiges sensibles,
Et les riches épis, sur le point de mûrir,
Allaient mourir,
Quand les moineaux de la vallée,
Prenant ensemble leur volée,
Vinrent s’abattre sur les champs
Et dévorer les insectes méchants.
Non, le bien que vous faites
Ne sera point perdu ;
Mais ne laissez jamais vos âmes inquiètes
Chercher comment il vous sera rendu.