de lop pouces cubiques de capacité. L'abforb- tion d'air avoit donc été de f;- , ou , ce qui eft la même chofe , entre un cinquième & un fixiéme de la quantité totale d'air contenue fous la cloche.
EXPÉRIENCE II.
CombuJIion du phofphore fous une cloche renperfée dans du mercure,
Pképaration de l'Expérience.
J'ai répété cette Expérience avec la même cloche que cl-defllis ; j'y ai employé également 8 grains de phofphore. Enfin , j'ai fait enforte que toutes les circonftances fuflent abfolumenc les mêmes, à la feule différence, qu'au lieu de renverfer la cloche de verre dans un vafe rem- pli d'eau & recouvert d'une couche d'huile ; je J ai renver fée dans un vafe rempli de mercure.
Effet,
La combuîllon s'eft faite à-peu-près comme dans l'Expérience précédente , avec cette diffé- rence , que les vapeurs qui s'attachoient à la clo- che étoient en flocons beaucoup plus légers » beaucoup plus blancs , & qu'ils ne font point tombés de même en ddi^uiumt Indépendammenî;
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