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dans les autres; on foude roigneufement avec dw cuivre la jondion latérale de chaque virole ; enfin , on réunit chacune de ces viroles l'une à l'autre 3 & à la calotte A A B , avec la même fou- dure. 11 n'y a uniquement de difficulté que pour celle de ces foudures qu'on réferve pour la der- nière , parce qu'on efl: obligé de la faire en- dehors, mais un Ouvrier adroit en vient aifément à bout, & on ne m'en a pas beaucoup manqué» Ces cornues peuvent rougir aflez complettement, fans que les foudures fondent; il faut feulement avoir foin , lorfqu'on emploie des matières mé-, talliques capables d'attaquer le cuivre , de de s'y unir , de n'emplir que la partie inférieure A A B de la cornue au-deffous de la foudure. On peut fe fervir un aflez grand nombre de fois , de la même cornue, & ce n'eO: que lorfque le fer s'efl brûlé & réduit en écailles , qu'on efl obligé de les rejetter. Quelque attention qu'apporte l'Ou- vrier, il efl: pofllible qu'il refl:e à la foudure de petits trous imperceptibles par lefquels l'air pour- roit s'introduire ; il ne s'agit pour les découvrir, que d'introduire un peu d'eau dans la cornue, & de la promener tout autour jufques à ce que les parois intérieures en foient mouillées dans toute }eur furfaçe ; fi l'on fouffle en fuite par l'ouveT?»^

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