SUR LES Émanations élastiques, lof^ pour cela qu'il ne fe produit jamais que dans les cas où les corps efluient des mouvemens intef- tins violens , des chocs tumultueux, lorfque leurs parties s'arcboutent les unes contre les autres , s'altèrent , fe brifent , s'atténuent , comme dans la fermentation , les effervefcences , la combuf- îlon, &:c. M. de Smeth croit en confe'quenca qu'on doit diftinguer
Gas vinifie ationh ^
Gai acetific adonis ^
Gas fepdcum j
Gas falinum feu efer^efcentiarutn s
Gas aqu(z ^ terrce feu feibterraneum.
Il n'affigne guères au furplus , pour autorifer ces diftindions , que les odeurs , à l'exception ce- pendant du Gas vinifie adonis j qui produit fur l'économie animale, des phénomènes particuliers. M. de Smeth examine enfuite en peu de mots l'opinion de ceux qui penfent que l'air fixe efi: le lien univerfel des élémens , le ciment des corps. On conçoit aifément, d'après ce qui vient d'être expofé , que cette opinion n'eft pas la (îenne. Il ne nie pas que l'air fixe ne foit un
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