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Tu ne laisses qu’un lieu d’ineffables douleurs,
Séjour affreux de deuil, de chagrins et de pleurs !
Boussuge, le destin qui, loin de ta patrie,
T’arrache à l’amitié d’une mère chérie,
Et brise à son aurore un si bel avenir,
Te laisse dans nos cœurs un touchant souvenir.

Août 1839